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3 août 2012 5 03 /08 /août /2012 17:20

Watarrka (Kings Canyon), Uluru (Ayers Rock), Kata Tjuta (Monts Olga)

 

C'est reparti pour la suite du voyage ! Cap au sud pour les 3 destinations mythiques du centre de l'Australie:

Kings Canyon, peut être le canyon le plus impressionnant d'Australie; Uluru, le rocher devenu emblématique du pays, haut lieu de la culture aborigène; les Monts Olga, non moins importants pour les aborigènes, les montagnes rouges voisines d'Uluru.

Sur la carte, on pense que c'est à côté d'Alice Springs (et de fait, ça paraît tout proche). Pourtant...

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Au bord de la route, on aperçoit des dizaines de grands "Wedge-tailed eagles" (sortes d'aigles royaux), dans les arbres, ou dévorant des carcasses de kangourous. Surréaliste.

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L'Australie est constituée de déserts à 20%. Bien que n'étant jamais à proprement parler dans le "désert" au sens géologique du terme, la Stuart Highway se glisse entre les déserts de Tanami, Victoria et Simpson. A quelques centaines de kilomètres d'Alice Springs se trouvent d'authentiques déserts de sable, dignes des "erg" du Sahara. En descendant vers le sud, on sent que les déserts de sable ne sont pas loin. La végétation est trompeuse: il suffit de garer la voiture et de marcher un peu pour voir qu'elle cache d'authentiques dunes de sable rouge:

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On ne voit aucune vie animale dans ces dunes... Mais la nuit, ce doit être un grand terrain de jeu, car il y a plein d'empreintes étranges dans le sable:

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A un détour de la route, on croit voir Uluru au loin... Mais non, c'est le Mt Conner, beaucoup moins connu. Nous ne sommes pas les premiers à faire la confusion !

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Il paraît tout proche sur la photo, pourtant il est à plus de 20 km, accessible seulement par une mauvaise piste. On a essayé d'y aller mais on s'est trompé de piste... On a laissé tomber car la crevaison aurait été problématique.

 

Revenus à la route, en montant sur une belle dune, une surprise de taille nous attendait à l'horizon ! Un lac salé asséché, à quelques centaines de mètres, invisible depuis la route ! C'est aussi ça qui est bien, en Australie: on découvre des trucs de fou dans leur environnement naturel, sans aucune infrastructure touristique. Alors bien sûr, on peut passer à côté, mais c'est tellement bon de découvrir un lac salé asséché par hasard !

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On a coupé à travers le bush pour tomber là-dessus... Epoustouflant !

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Kings Canyon:

 

C'est un spectaculaire canyon de 300 mètres de dénivelé. Nous l'avons visité en compagnie d'Amandine et Julien, un couple de nantais sympa comme tout avec qui nous avons passé quelques jours.

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Pas de barrières de sécurité ici... Un petit pas de trop, et c'est la chute libre sur 300 mètres ! 

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Nous avons croisé un habitant du coin:

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Uluru:

 

Plus loin, à un détour de la route, le voici qui se profile à l'horizon, le seul, l'unique, le vrai Uluru ! Nous avons fait une pause dans une Rest Area, dans les dunes, à une cinquantaine de kilomètres du monolithe.

 

Voilà la vue: à gauche, Uluru. A droite, encore plus loin, les Monts Olga, qu'on pourrait prendre pour un nuage.

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Mission bois pour faire un grand feu pour 4, sur fond d'Uluru:

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Ici, les dunes étaient encore plus spectaculaires:

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Le contraste avec la végétation, encore plus saisissant:

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Uluru est à la hauteur de sa réputation. Ce rocher, au milieu de rien, a quelque chose de... magique ! De la vue d'ensemble, à la découverte de ses petits recoins, les récits aborigènes sur le "Temps du Rêve" qui se lisent sur les rochers comme dans un grand livre, la spiritualité qui s'en dégage... c'est du jamais vu. Il faut aller en Australie pour voir ça. J'aurais pu mettre cent photos, ça ne rendra jamais ce qu'on ressent au pied de cet énigmatique rocher.

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Les traînées noires que l'on voit sur le rocher sont les eaux d'écoulement. Quand il pleut (ça arrive !), le rocher dégouline de partout, et de véritables cascades se déversent dans les trous d'eaux. Ca doit être superbe à voir. DSC06070 (768x1024)

 

Peintures rupestres dans les cavernes qu'on trouve au pied d'Uluru:

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Caverne en forme de vague creusée par l'érosion (pluies et vents)

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La file de touristes faisant l'ascension du rocher:

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Bon. Je m'étais juré de ne pas faire d'apparté sur ce sujet et de ne m'en tenir qu'aux images, mais en revoyant cette photo je ne peux pas m'en empêcher ! En effet l'ascension du rocher évoque un vaste sujet, et je me dis qu'après tout, parler d'Uluru sans l'évoquer, c'est un peu passer à côté.

 

Malgré toutes les demandes d'interdiction des aborigènes locaux (Anangu), pour qui le rocher est sacré, et les nombreux panneaux rappelant que l'ascension est totalement irrespectueuse de leur culture, les gens continuent de grimper au sommet. Il faut dire que des rembardes de sécurité ont été plantées à même le rocher, pour éviter que le bilan de 30 morts ne s'alourdisse... "Si on l'interdit, les gens le feront quand même, alors il vaut mieux qu'il y ait des rembardes", entend-on...... Pourtant, en cas de forte chaleur ou de vents violents au sommet (ce qui arrive régulièrement), fermer l'ascension ne pose aucun problème et tout le monde obtempère...

 

Pour l'histoire, il y a encore 60 ans, les aborigènes vivaient là, Uluru était inconnu des touristes. Suite à la première ascension par un blanc, le rocher et le parc national Uluru - Kata Tjuta ont été déclaré propriété de l'Etat, et exploités touristiquement. Il a fallu attendre 1985 pour que le rocher soit restitué aux aborigènes et qu'une gestion partagée du parc national soit organisée, après de nombreuses années de revendication.

Aujourd'hui, il est intéressant de constater que les scientifiques, avec tout leur savoir et leur équipement, sont encore incapables de gérer la faune et la flore du parc durablement et efficacement sans apprendre des Anangu, qui vont pieds nus dans le bush depuis l'aube du temps, et le connaissent comme leur poche. Par exemple,  depuis des milliers d'année, les Anangu ont allumé des feux de bush "coupe-feu", pour empêcher les incendies intempestifs de se propager, avec une technique spécifique afin de créer un cycle de regénération. Les paysagistes d'aujourd'hui, eux, doivent utiliser des relevés satellites pour s'y retrouver ! Les Anciens des Anangu disent avec humour que le niveau de savoir des rangers et des paysagistes équivaut à celui d'un adolescent en tout début d'initiation ;-) Dans le cadre de la gestion jointe, ils les forment donc pour être plus performants, mais les connaissances liées à la spiritualité et au Temps du Rêve sont pour l'essentiel tenues secrètes. Seules quelques histoires ont été dévoilées pour sensibiliser les touristes, telles le combat de Kuniya, (la femelle Woma Python) contre le serpent Liru (brown snake), qu'on peut littéralement lire comme une bande-dessiné symbolique, dans les formes naturelles du rocher.

 

Quand le parc fut restitué aux aborigènes, la condtion était de laisser les touristes monter en haut du rocher. Aujourd'hui, il y a une marque indélébile qui se voit depuis très loin (des dizaines et des dizaines de pieds qui foulent un rocher pendant 40 ans, ça marque à jamais). De plus, certaines personnes pissent en haut du rocher! Ce n'est pas du délire, en analysant l'eau des trous d'eau qu'on trouve au pied du rocher, où se vident les eaux d'écoulement d'Uluru (signification super sacrée pour les aborigènes, qui doivent garder le silence à proximité de ces lieux), on relève des traces d'urine... Quel affront !

 

Cependant, et heureusement, on a été content d'entendre de la bouche d'un ranger, que malgré le faux argument des rembardes de sécurité, c'est aujourd'hui un des objectifs principaux - et officiels - d'interdire définitivement l'ascension d'ici trois ans, le temps que le parc national puisse proposer des attractions alternatives pour les touristes.

 

Alors c'est vrai, quand on voit ce rocher de 350 mètres de haut, et ces gens qui montent, on a envie d'y grimper, ça brûle les pieds de se lancer dans l'attaque du sommet. Mais il y a un moment, il faut accepter qu'on ne peut pas TOUT faire sous prétexte qu'on est touriste.

 

Voilà, je m'arrête ici ! Moi qui m'étais juré de ne pas trop me lâcher, j'ai fait exactement l'inverse. Mais bon, tant pis, le message est passé, et un blog, c'est aussi fait pour s'exprimer. 

 

Un des aspects magiques d'Uluru est aussi la couleur incroyable qu'il prend, au coucher du soleil, comme une braise incandescente:

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Kata Tjuta (les Monts Olga):

 

Un autre lieu sacré pour les aborigènes, à une vingtaine de km de là: Kata Tjuta, qui veut dire "Beaucoup de têtes" en Anangu.

Cela décrit bien cet amoncellement de dômes, qui peut bien rivaliser avec Uluru en termes de magie et de beauté. On a fait une randonnée par la bien-nommée "vallée des vents", qui fait une boucle à l'intérieur de cet étrange massif:

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Un road train semble arriver tout droit du désert, par la piste venue de l'Ouest:

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Vues d'ensemble, au coucher du soleil:

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Vers le sud: derniers jours de bush

 

A 700 km au sud d'Alice Springs se trouve une ville pour le moins originale. Imaginez, au milieu d'une plaine immense et désolée où aucune végétation ne pousse, une petite agglomération sans âme apparente, perdue au milieu d'immenses champs d'opales. L'opale est une pierre précieuse, et Coober Pedy, sa capitale. Sur des kilomètres carrés alentour, les gens creusent à la recherche de la petite pierre aux reflets pétrole.  De l'entreprise organisée, au bonhomme venu avec son pick-up, tous s'activent à creuser, et les étendues désertiques forment un véritable gruyère, un dédale de petits monticules...Coober Pedy vient de l'aborigène "kupa pidi" qui veut dire, je crois, "homme blanc dans un trou" ;-)

 

Non, vous n'êtes pas sur la lune. Vous êtes à Coober Pedy:

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Cette ville fait froid dans le dos. Parfait lieu de tournage pour un films de zombies...

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L'été, la ville se transforme en une gigantesque poêle à frire... Pas d'arbre, 50° à l'ombre... Pour se protéger de la chaleur, les habitants ont creusé dans le sol. On trouve ainsi beaucoup de maisons et de commerces troglodytiques. Voici l'entrée d'une église:

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Dans la partie sud du centre australien, la nature est encore plus désolée que dans le Northern Territory. Dans le northern, c'était la terre rouge sableuse typique, les termitières, le bush, les eucalyptus... Ici, c'est une autre planète. Voici quelques images:

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Ces espaces ont quelque chose de pas humain. Mais faire quelques pas dans les cailloux et contempler les quatre horizons vides procure un sentiment étrangement agréable: celui d'être seul au monde, peut être... J'ai un peu compris ce qu'Alexander Supertramp devait ressentir, perdu au fond de l'Alaska...

 

Mais en approchant de la côte sud, on retrouve l'eau et la nature se fait plus rieuse, plus verte. On retrouve les villes et on ne se dit plus bonjour de la main quand on croise une voiture sur la route. On retrouve aussi la pluie ! La mer n'est pas loin...

 

La Great Ocean Road. Les derniers kilomètres:

 

Entre Adelaide et Melbourne, la route longe l'océan indien sur 250 km. C'est une des seules routes côtières d'Australie, et elle offre de magnifiques paysages. Sur la première partie, ce sont de hautes falaises érodées qui font un peu penser à Etretat:

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Le "london bridge". Il y a quelques années, cette formation était reliée à la côté par une deuxième arche, qui s'est effondrée lors d'une tempête. Deux touristes pris au piège sont restés coincés toute la nuit sur la nouvelle île, le vent étant trop violent pour qu'un hélicoptère puisse les secourir:

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Les fameux "12 apôtres", qui ne sont maintenant plus que 9: 

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La route longe ensuite une côte faite de baies et de forêts humides et verdoyantes (Great Otway National Park).

Climat: pluie, éclaircie, pluie, éclaircie etc. On aurait aussi bien pu baptiser cette route "la route des arcs-en-ciel".

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Nous avons eu de la chance.. Dans un virage, Sophie a remarqué une boule suspecte dans un arbre. Demi-tour pour vérifier: Nous nous trouvions à quelques mètres d'un koala. Il fallait avoir l'oeil ! Et par chance, il s'est réveillé et a tourné sa tête vers nous (ces veinards dorment 18 heures par jour!)

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L'océan indien:

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Le plan initial était de conduire la voiture jusqu'à Sydney, et de la passer à une amie de Stéphanie, Juliette. Finalement, Juliette ne pouvait pas gérer la voiture, donc nous avons eu une petite frayeur. Heureusement, un ami à elle a accepté de garder la voiture chez lui, à Melbourne. Le road trip s'est donc arrêté à Melbourne, où nous avons sauté dans un avion pour Sydney.

 

Image de fin pour la Mitsubishi, bien rangée et nettoyée, juste avant qu'on la voit se perdre dans le trafic de Melbourne, ayant changé de main... J'avoue, on en avait presque les larmes aux yeux !! Après avoir fait près de 8000 km avec, et dormi dedans pendant plus d'un mois, c'est un peu comme voir sa maison se barrer sur la route !

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Krish, qui a récupéré la voiture. Un Sri-lankais super sympa, directeur d'un théâtre de Melbourne, qui nous a même invités à prendre un café dans un bar assez huppé (j'avais l'impression d'être habillé comme un plouc au milieu de la clientèle très "lounge" mais c'était marrant):

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Sydney: derniers moments en Australie

 

Et voilà. Les dernières heures en Australie sonnaient à notre horloge... Cela s'est passé à Sydney, 3 jours en auberge de jeunesse dans le quartier de King's Cross (un luxe !), qui nous ont permis de profiter de cette ville agréable à vivre. . Sophie était déjà venue, elle connaissait et a été une guide bien utile ;-)

 

Contraste typique du centre des affaires à Sydney:

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L'opéra mythique (qui est plus petit qu'on se l'imagine):

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Le non moins mythique Harbour Bridge (qui est plus grand qu'on se l'imagine):

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Une petite virée en ferry dans la baie de Sydney nous a permis d'apprécier de beaux points de vue:

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Mon dernier coucher de soleil austral... Bientôt, je le verrais se lever de l'autre côté...DSC06644 (1024x768)

 

Le lendemain, je prenais l'avion pour Pékin via Shangaï, puis Paris. Avec l'attente à Pékin, un voyage total de 40 heures!

 

Sophie, de son côté, partait passer deux semaines à Bali. On se retrouverait ensuite sur Paris.

 

Au-revoir Sydney, au-revoir l'Australie... Ou peut-être devrais-je dire: Catch you later, mate !

syd

 

Voici venu le temps de mettre un point final à ce blog. Que dire ? Je n'aime pas les au-revoir interminables, alors je ferai simple. C'était une année exceptionnelle. Quand j'avais écrit mon tout premier article, je l'avais conclu par une citation de Mark Twain, le leitmotiv de mon voyage: “Twenty years from now you will be more disappointed by the things that you didn't do than by the ones you did do. So throw off the bowlines. Sail away from the safe harbor. Catch the trade winds in your sails. Explore. Dream. Discover.”

 

Me concernant, c'est mission accomplie ! Et je rentre en France avec des dizaines d'idées qui bouillonnent dans ma tête pour l'avenir. 

 

Alors, si par hasard quelqu'un lirait ces lignes, quelqu'un qui ne se satisferait pas de son quotidien, et qui rêverait d'un beau voyage, où que ce soit, d'un long break et d'une bouffée d'aventure, voici mon petit conseil: QU'EST-CE QUE TU ATTENDS, VAS Y ET BOUFFE LA VIE AVANT QU'ELLE NE TE BOUFFE :-) :-) :-)

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commentaires

M
Bonjour Jérémy,<br /> J'ai découvert ton blog par hasard, en visualisant des images de road trips sur google. Je suis photographe et je souhaite monter un projet photo sur l'Australie. Je suis en train d'écrire un dossier pour obtenir un financement d'un organisme et dedans, j'y ai mis quelques images de références visuelles pour illustrer mon futur projet. Il y en a deux qui viennent de ton blog. Je souhaiterais savoir si cela est possible de les utiliser (uniquement pour le dossier). Tu peux me répondre par email. Si je n'ai pas de réponse, j'en trouverai d'autres ailleurs ;) Merci bien! Margaux
Répondre
M
Merci beaucoup de m'avoir fais révé! Et oui qu'est ce que j'attend??! Tu ma gonfler a block!! Je part en Septembre 2013 Vivre une aventureee! J’espère en tirer autant d'enrichissement que vous!<br /> Merci pour tout! Ciao
Répondre
J
<br /> <br /> Ravi de lire que mon article a trouvé un écho ! Je te souhaite le meilleur pour ton aventure :-)<br /> <br /> <br /> <br />
J
uluru , quel beau paysage!<br /> sinon, bravo! bravo pour ce magnifique blog, ces photos, ces commentaires, ces explications, merci pour ces beaux moments d'évasion, j'ai eu l'impression de faire le périple en même temps! je le<br /> répète, tu devrais mettre tout ça dans un livre!!!<br /> bonne continuation et j'espère revoir d'autres voyages!<br /> amicalement,
Répondre
T
BIOOOUUUUUUUUU
Répondre
T
Magnifiques photos du South Australia! Rentre bien et prends soin de toi... Tu vas manquer a l'Australie.
Répondre
J
<br /> <br /> L'Australie me manque.. Et toi aussi mon poulet ;-)<br /> <br /> <br /> <br />

Pourquoi ce blog?

Ceci est un petit blog de voyage sans prétention, qui j'espère vous plaira.

Quoi de mieux qu'un visa vacances-travail australien pour partir découvrir l'autre côté du monde? Viet Nam, Australie, Indonésie, Malaisie, Thailande, Cambodge, Laos... et l'aventure n'est pas terminée !

Bonne lecture !